35 statistiques incontournables sur le suivi commercial pour optimiser votre prospection

Dernière mise à jour le July 9, 2025

Imagine un peu la scène : tu décroches enfin un prospect qui semble vraiment prometteur. Tu envoies un premier mail, peut-être même tu passes un coup de fil… et là, plus rien. Silence total. Tu te demandes : « Est-ce qu’il a vu mon message ? Est-ce que je dois relancer ? Je vais passer pour un relou ? » Si tu t’es déjà posé ces questions, t’inquiète, tu n’es clairement pas le seul — et les chiffres sont là pour le prouver. Une stat qui me fait toujours halluciner : 80 % des ventes demandent entre cinq et douze relances, mais 44 % des commerciaux lâchent l’affaire après une seule tentative. C’est comme s’arrêter au premier kilomètre d’un marathon et s’étonner de ne pas avoir la médaille à la fin.

Dans cet article, je te partage 35 statistiques qui font réfléchir sur le suivi commercial (et crois-moi, j’ai passé du temps à fouiller les études !). On va voir ce qui marche vraiment : le bon timing, la fréquence idéale, les canaux à privilégier, et même les pièges comme la mauvaise qualité des données. Que tu sois manager, SDR ou fondateur qui fait tout, ces chiffres vont t’aider à revoir ta stratégie de suivi et — on l’espère — à signer plus de deals. Prêt ? On plonge dans l’art du follow-up.

L’état du suivi commercial : pourquoi il faut s’accrocher

On commence par un petit tour d’horizon. Le monde de la vente est rempli de prospects, mais la plupart ne reçoivent jamais de vraie relance. Près de après le premier contact. En gros, la moitié des opportunités partent à la poubelle avant même d’avoir commencé. Et ce n’est pas tout : environ avant qu’un commercial ne les contacte.

Le plus fou ? La majorité des acheteurs attendent et apprécient même plusieurs relances. Il y a un vrai décalage entre ce que veulent les prospects et ce que font les commerciaux. Les chiffres sont clairs : la régularité et la persévérance, c’est ce qui fait la différence. Si tu ne relances pas, tu laisses la place à la concurrence.

Mais alors, à quoi ressemble un suivi commercial intelligent, piloté par la data ? Ce n’est pas juste « insister plus ». Il faut savoir quand, comment et à quelle fréquence relancer — en s’appuyant sur les stats, pas juste sur l’instinct.

Statistiques clés sur le suivi commercial : à garder sous le coude

Quelques chiffres à sortir en réunion pour booster ta stratégie :

  • 80 % des ventes nécessitent entre cinq et douze relances ().
  • 44 % des commerciaux abandonnent après une seule relance ().
  • Seules 2 % des ventes se concluent au premier contact ().
  • 35 à 50 % des ventes vont au fournisseur qui répond en premier ().
  • Les boîtes qui relancent un lead entrant dans les 5 minutes ont 100 fois plus de chances de le convertir ().

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  • Il faut en moyenne 8 tentatives d’appel pour joindre un prospect ().
  • 70 % des commerciaux s’arrêtent après un seul email ().
  • Le taux d’ouverture des SMS frôle les 98 % ().
  • 75 % des acheteurs en ligne s’attendent à recevoir 2 à 4 appels avant qu’une entreprise ne lâche l’affaire ().
  • 57 % des acheteurs préfèrent des relances consultatives et pas agressives ().

À retenir : Persévérance + Réactivité + Multicanal = Plus de ventes.

Fréquence des relances : combien de tentatives il faut vraiment ?

Le chiffre à retenir : 5 à 8 relances

On casse un mythe : « S’ils ne répondent pas après une ou deux tentatives, c’est mort. » En vrai, seulement 2 % des ventes se font au premier contact (), et 80 % des deals demandent entre cinq et douze relances (). Beaucoup lâchent l’affaire bien trop tôt.

Une étude montre que 60 % des clients disent “non” quatre fois avant de dire oui (). Pourtant, 92 % des commerciaux arrêtent avant la quatrième tentative (). C’est du business qui part à la trappe !

Quand s’arrêter ?

La persévérance, c’est bien, mais il y a une limite. Après 12 tentatives, 96 % des opportunités sont grillées (). La plupart des boîtes recommandent 6 à 8 relances pour de la prospection à froid, et jusqu’à 10–12 pour des leads plus chauds avant de faire une pause ou d’envoyer un message de clôture.

Conseils concrets

  • Prévois au moins 5 à 8 relances par lead (en variant les canaux : appels, emails, etc.).
  • Espace les relances : rapprochées au début (tous les 2–4 jours), puis plus espacées.
  • Sache dire stop : après 8–10 tentatives sans réponse, passe à autre chose — mais fais-le proprement.

Suivi par email : combien d’emails avant une réponse ?

L’email reste l’arme de base du suivi commercial, mais il est souvent sous-utilisé.

  • 70 % des commerciaux s’arrêtent après un seul email ().
  • Envoyer un email de relance augmente tes chances de réponse de 11 % ().
  • 70 % des conversations email qui finissent en vente comportaient au moins une relance ().
  • Le premier email de relance a un taux de réponse 40 % supérieur aux suivants ().

Les bons réflexes

  • Ne t’arrête pas après un seul email — les séquences qui marchent font souvent 4 à 6 emails sur plusieurs semaines ().
  • Espace les relances de 2 à 4 jours pour de meilleurs résultats.
  • Personnalise chaque message (on en reparle plus bas).

Appels téléphoniques : la persévérance, ça paye ?

Appeler, c’est jamais fun — personne n’aime tomber sur un répondeur ou se faire ignorer. Mais les chiffres sont clairs : il faut s’accrocher.

  • Il faut en moyenne 8 appels pour joindre un prospect ().
  • 48 % des commerciaux ne rappellent jamais après un premier appel sans réponse ().
  • 80 % des appels commerciaux tombent sur une messagerie ().
  • 75 % des acheteurs en ligne s’attendent à recevoir 2 à 4 appels avant qu’une boîte ne laisse tomber ().

Quand lâcher l’affaire ?

Si après 8 à 10 tentatives (en alternant avec d’autres canaux) tu n’as aucun retour, il est temps de passer à autre chose. Pense à laisser un message vocal et à envoyer un email en référence à ton appel — ce combo peut vraiment booster les réponses.

La rapidité : l’arme secrète du suivi commercial

La vitesse, ce n’est pas que pour la F1 — en vente aussi, ça change tout.

  • 35 à 50 % des ventes vont au fournisseur qui répond en premier ().
  • Relancer dans les 5 minutes multiplie par 100 tes chances de conversion ().
  • Répondre dans l’heure rend 7 fois plus probable la qualification du lead ().
  • Attendre un jour fait chuter le taux de réponse de 11 % ().
  • Après cinq jours, tes chances de réponse tombent à 24 % ().

En clair : dès qu’un nouveau lead arrive, fonce. Comme on dit souvent, « le premier arrivé est souvent le seul servi » — et en vente, c’est rarement faux.

Les meilleurs moments pour appeler ou envoyer un email

Le timing, ce n’est pas juste la rapidité, c’est aussi choisir le bon créneau dans la journée.

  • Les emails envoyés en milieu de journée, surtout vers 13h, cartonnent niveau réponses ().
  • Les créneaux 11h ou 13–15h sont les plus efficaces pour l’email ().
  • Pour les appels, vise la fin de matinée (10–11h) ou la fin d’aprèm (16–17h) ().

Évite la pause dej (12–13h) et les soirées tard. Et pense toujours au fuseau horaire de ton prospect.

Quel canal de suivi privilégier ?

Soyons honnêtes : il n’y a pas de canal miracle (sauf si tu comptes sur les pigeons voyageurs, mais leur taux d’ouverture est pas ouf). Les stratégies qui cartonnent sont multicanales.

Email : l’indispensable

  • L’email est 40 fois plus efficace pour choper de nouveaux clients que Facebook ou Twitter ().
  • 347 milliards d’emails sont envoyés chaque jour () — il faut donc sortir du lot.

Téléphone : toujours costaud

  • 57 % des décideurs préfèrent être contactés par téléphone ().
  • 2 % des appels à froid débouchent sur un rendez-vous ().
  • Mixer appel et email booste l’engagement — tente le trio « appel + message vocal + email ».

SMS : la botte secrète

  • Le taux d’ouverture des SMS atteint 98 % ().
  • 95 % des SMS envoyés par une boîte sont lus en moins de 3 minutes ().
  • Envoyer un SMS après le premier contact peut doubler le taux de conversion ().
  • Trois relances SMS bien placées après le contact initial peuvent augmenter les conversions de 328 % ().
  • Attention : envoyer un SMS à froid avant tout contact peut réduire tes chances de joindre le lead de 39 % ().

Social selling : la touche moderne

  • Les commerciaux qui font du social selling ont 51 % de chances en plus d’atteindre leurs objectifs ().
  • 75 % des acheteurs B2B checkent les réseaux sociaux avant d’acheter ().
  • Les séquences multicanales (email, téléphone, SMS, réseaux sociaux) boostent l’engagement de 26 % ().

À retenir

Varie les approches. L’email reste la base, mais téléphone, SMS et réseaux sociaux peuvent faire la différence quand l’email ne suffit plus. (Évite juste la danse TikTok en première relance, sauf si tu vises la Gen Z…)

Objet, personnalisation et contenu : ce qui fait cliquer

Tu peux écrire le meilleur email de relance du monde, si l’objet c’est « Petite question » ou « Juste une relance », il finira sûrement à la corbeille. Ce que disent les stats :

  • Près de 50 % des destinataires ouvrent un email juste à cause de l’objet ().
  • Un objet personnalisé augmente de 50 % les chances d’ouverture ().
  • Les emails ultra personnalisés génèrent un taux de réponse 3 fois supérieur ().
  • 57 % des acheteurs préfèrent des relances consultatives et pas agressives ().

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Conseils pour des relances qui font mouche

  • Personnalise tout : prénom, boîte, problème précis.
  • Un objet court, clair et qui donne envie.
  • Apporte de la valeur à chaque message : partage un conseil, une ressource, une solution — évite le simple « relance ».
  • Adopte un ton aidant, jamais lourd.

Qualité des données : le piège invisible du suivi commercial

Tu peux avoir le meilleur process de suivi du monde, si tes données sont pourries, tu perds ton temps.

  • 27 % du temps des commerciaux est perdu à cause de données fausses ou obsolètes ().
  • 94 % des boîtes doutent de la fiabilité de leurs données clients/prospects ().
  • La mauvaise qualité des données coûte en moyenne 12 à 15 millions de dollars par an à une entreprise ().
  • Les boîtes perdent environ 15 % de leur chiffre d’affaires à cause de données inexactes ().

J’ai vu des équipes perdre des heures à relancer des leads avec des emails bidons ou des numéros périmés. Autant essayer de vendre à des fantômes ! D’où l’importance d’outils (comme ) pour garder des données propres, à jour et vraiment utiles.

Productivité commerciale et suivi : où part ton temps ?

T’as l’impression de passer plus de temps à remplir ton CRM qu’à vendre ? Tu n’es pas fou.

  • Les commerciaux ne passent que 28 à 33 % de leur temps à vraiment vendre ().
  • 68 % des pros de la vente trouvent que la prise de notes et la saisie de données, c’est ce qui leur prend le plus de temps ().
  • 43 % passent 10 à 20 heures par semaine sur l’administratif et la mise à jour du CRM ().
  • Environ 21 % de la journée part dans la rédaction ou la réponse à des emails ().
  • L’automatisation des tâches répétitives fait gagner plus de 6 heures par semaine et par commercial ().
  • 81 % des managers pensent que l’IA peut réduire le temps administratif, et 84 % des commerciaux qui l’utilisent signent plus de deals ().

C’est là que des outils comme font la différence. En tant qu’ et agent d’auto-remplissage, Thunderbit t’aide à extraire les données de leads, remplir des formulaires et mettre à jour ton CRM en quelques secondes — pour passer plus de temps sur le suivi et moins sur la paperasse. (Oui, c’est un peu d’auto-promo, mais c’est mon blog !)

Ce que veulent vraiment les acheteurs lors du suivi commercial

Changeons de point de vue : qu’attendent vraiment les prospects ?

  • 66 % préfèrent être contactés par email ().
  • 75 % des acheteurs en ligne s’attendent à 2 à 4 appels dans le cadre du suivi ().
  • 57 % se disent plus enclins à acheter si le suivi n’est pas lourd ().
  • 42 % sont plus réceptifs si l’appel est programmé à un moment convenu ().
  • 82 % des acheteurs B2B attendent une personnalisation selon leur rôle et leur boîte.

En résumé

  • Commence par l’email, mais n’hésite pas à appeler (surtout si c’est calé à l’avance).
  • Personnalise et apporte de la valeur à chaque échange.
  • Sois utile, pas lourd — positionne-toi en conseiller, pas en vendeur à l’ancienne.
  • Demande les préférences du prospect : « Tu préfères l’email ou le téléphone ? À quelle fréquence tu veux qu’on te contacte ? »

À retenir : comment passer à l’action grâce aux statistiques de suivi commercial

Pour résumer, voici ta checklist du suivi commercial piloté par la data :

  1. Prévois au moins 5 à 8 relances par lead — ne t’arrête pas après une ou deux tentatives.
  2. Réponds aux nouveaux leads en quelques minutes — la rapidité, c’est la clé.
  3. Varie les canaux : email, téléphone, SMS (avec consentement), réseaux sociaux.
  4. Espace tes relances : tous les 2–4 jours au début.
  5. Optimise le timing : appelle en fin de matinée/aprèm, envoie tes emails vers 13h.
  6. Personnalise tout : objet, contenu, valeur ajoutée.
  7. Garde tes données propres : des données pourries = du temps perdu.
  8. Automatise ce qui peut l’être : des outils comme te font gagner du temps.
  9. Sois à l’écoute des signaux d’achat : adapte ton rythme et tes canaux aux préférences du prospect.
  10. Sache quand arrêter : après 8–10 relances sans retour, passe à autre chose avec élégance.

Tu veux une version imprimable ? (Je ne l’ai pas encore faite, mais si tu la veux, dis-le-moi !)

L’avenir du suivi commercial : les tendances à surveiller

Le suivi commercial bouge vite — voilà ce qui arrive :

  • Suivi automatisé par l’IA à grande échelle : d’ici 2025, l’IA et le machine learning vont exploser dans les plateformes de sales engagement ().
  • Explosion des plateformes de sales engagement : le marché va quadrupler d’ici 2025 ().
  • Hyper-personnalisation et vidéo : attends-toi à plus de relances vidéo et d’emails personnalisés selon l’activité du prospect.
  • Omnicanal et nouveaux canaux : WhatsApp, Slack et les communautés en ligne prennent de l’ampleur.
  • CRM plus intelligent : l’analytique prédictive te dira qui relancer, quand et comment.
  • Expérience client au centre : le meilleur suivi ressemblera à un vrai service, pas à un pitch commercial.

Après des années à bosser sur des outils SaaS et d’automatisation, je peux te le dire : l’avenir appartient à ceux qui bossent plus intelligemment, pas plus dur. Les commerciaux qui surfent sur ces tendances — et qui ont les bons outils — rafleront la mise, tout simplement.

Sources & pour aller plus loin

Envie d’aller plus loin ? Voici quelques-unes des meilleures ressources utilisées pour cet article :

Et si tu veux voir comment peut automatiser tes tâches chronophages et te libérer du temps pour le suivi à forte valeur ajoutée, check notre ou teste notre .

Conclusion

Le suivi commercial, ce n’est pas harceler : c’est être présent, utile et persévérant. Les chiffres sont clairs : la majorité des ventes vont à ceux qui relancent, qui réagissent vite et qui utilisent tous les canaux à leur disposition. Donc, la prochaine fois que tu hésites à relancer après un email, souviens-toi : la réussite se joue dans le suivi (et les stats le prouvent).

À toi de jouer pour un suivi plus malin ! Et si tu as besoin d’un coup de main côté data, tu sais où me trouver (et Thunderbit aussi).

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FAQ

1. Pourquoi le suivi est-il si important en vente ?

Parce que 80 % des ventes demandent 5 à 12 relances, alors que 44 % des commerciaux lâchent l’affaire après une seule tentative. Relancer régulièrement augmente tes chances de conclure et évite que tes concurrents ne récupèrent tes prospects.

2. Quel est le nombre idéal de relances ?

Pour de la prospection à froid, vise 6 à 8 relances. Pour des leads plus chauds, jusqu’à 10–12. Après 8 à 10 tentatives sans réponse, mieux vaut faire une pause ou envoyer un message de clôture respectueux.

3. À quelle vitesse dois-je relancer un nouveau lead ?

La rapidité, c’est la base. Répondre dans les 5 minutes multiplie par 100 tes chances de conversion. Même une heure de retard fait chuter tes chances.

4. Quels canaux privilégier pour le suivi ?

Une approche multicanale, c’est ce qui marche le mieux : combine email, téléphone, SMS (avec consentement) et réseaux sociaux. Chaque canal renforce l’engagement, surtout utilisés ensemble.

5. Comment améliorer l’efficacité et la productivité de mon suivi ?

Automatise les tâches répétitives comme la saisie de données et la mise à jour du CRM grâce à des outils comme Thunderbit. Tu pourras ainsi te concentrer sur la relation client et signer plus de deals.

Shuai Guan
Shuai Guan
Co-founder/CEO @ Thunderbit. Passionate about cross section of AI and Automation. He's a big advocate of automation and loves making it more accessible to everyone. Beyond tech, he channels his creativity through a passion for photography, capturing stories one picture at a time.
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